mercredi 5 décembre 2007

LA DECHIRURE


J ai d abord connu ta maman,
Et l ai aimé d un amour si grand.
Toi d un autre homme tu étais,
Mon arrivé, c est sur te déplaisait.
J ai eu du mal à t apprivoiser,
De moi vraiment tu te méfiais.
Aussi ce fut une grande joi,e
Quand tu m appelas un jour papa !
Décidé, un choix alors j ai fait ,
D autres enfants que toi je n aurai.
Les nuits passées à te tenir la main,
Mes larmes d amour pour tes chagrins.
Les soirées ensemble à jouer,
Dans le lit, les batailles d oreillers.
Comme dans tous les mauvais romans ,
Un autre homme plut à ta maman.
Entre nous, de sang aucun lien ,
Même pas tonton, même pas parrain.
Dans l auto qui s éloigne au loin,
A la fenêtre s agite une petite main.
Garde-moi une place dans ton souvenir,
Que je puisse venir parfois m y blottir. !
Dans ta chambre, au premier je vais monter,
Dans ton lit pour pleurer je me blottirai.
Un petit mot en plein milieu du lit,
Ou de tes larmes tu as écris.
--<>.

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