vendredi 7 décembre 2007

INCONNUE


Inconnue je te parle ; je te côtoie,
Mais toi hautaine tu ne sais pas.
Comment pouvoir t approcher,
Avec douceur sans te froisser.
De mon malheur je prends parti,
Avec le temps arrive l oubli.
Les heures s égrenant rapidement,
Passe les années passe le temps.
Et puis un jour flânant sur le net,
Arrive une fine écriture toute menue,
Veux tu chatter, ce serai chouette,
Bonjour, toi je m appelle, inconnue.
Dans ma memoire pleins de souvenirs,
Qui se bousculent et veulent sortir.
Non trop de temps qui a defile,
Tu es maman et meme mariée.
Allons Roger il faut te réveiller,
Lui sourire pour ne pas pleurer.
Jamais, non jamais elle ne doit savoir,
Ton chagrin, Tes larmes, ton désespoir.
De ses mots couchés sur le papier,
Elle doit à jamais tout ignorer.
Inconnue, mon ami Ma toute belle,
Ne reste qu’éphémère et virtuelle.
Mais qu il était si bon de divaguer,
Et de croire que peut être, je n ai pas rêvé.
Alors adieu doux amour imaginaire,
Je redescends pour toujours sur la terre.

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